Nous avons lu, vu, écouté, joué. Et nous avons aimé... Vous aimerez peut-être.
Le répertoire classique s’offre comme une inépuisable source d’inspiration pour les musiciens de jazz et les improvisateurs actuels.
Le Caribou volant, duo franco-canadien, chante la prise de conscience écologique sur des airs de reggae. Etat catastrophique de la planète, pièges de la société actuelle, surconsommation mortifère, tel est le constat.
Coup de cœur pour les paroles audacieuses anti-langue de bois. Les accusés sont clairement nommés : « Trump, tu nous mens ; Monsanto, tu nous empoisonnes ; Google, tu nous leurres ».
Le message est lancé aux générations présentes et à venir : enfants d’aujourd’hui, parents de demain, soyez vigilants ! Agissez dès maintenant !
Vincent Malone, autoproclamé roi des papas, est bien connu depuis de nombreuses années pour ses chansons impertinentes et ses contes détournés.
Un Noël déjanté, on n’en attendait pas moins de sa part. Dans cette comédie musicale, la petite Rose tente de sauver une situation familiale difficile qui éclate le 24 décembre. Si le message n’est pas nouveau (le bonheur est à chercher en soi-même), il est prétexte à des chansons rock où se déchainent l’humour et la fantaisie du compositeur et des interprètes.
Au passage, une petite charge contre notre société de consommation et ses excès en tous genres : fast food, internet, offres à crédit, manipulations génétiques…
Regardez la pochette de ce CD : tellement ordinaires qu’on ne les voit plus, les objets de tous les jours… un peu transparents cette tondeuse à gazon, cet ordinateur ou ce skateboard.
D’un jazz moelleux, retranscrire la bande-son de la vie d’une cité pavillonnaire : telle est l’intention du compositeur, qui est aussi le batteur du groupe. Sans effets artificiels, le quintet de Vincent Touchard se promène dans la banalité du quotidien.
Narration musicale d’un jour de fête nationale (Juillet), des courses au supermarché (2=3) ou du départ en vacances (Le grand jour), ce disque se veut la poésie insoupçonnée de la vie d’une majorité d’entre nous.
Peut-on rire de tout ? Il semblerait que oui. Et de toutes les manières possibles.
La chanson, moyen d’expression populaire, s’est bien emparée de l’humour.
Avec leurs gueules d’alligators, on les croirait sortis du bayou. Pourtant les 6 membres de Broadway Lafayette sont… Suisses.
Capables, donc, de nous faire croire qu’ils viennent de Louisiane, ces musiciens nous offrent 11 chansons à la sauce zydéco. C’est le versant créole noir de la musique cajun. Métissage des langues, ambiance musicale à la fois nonchalante et dansante, où l’on avoue que « j’étais many many times dans les flammes de l’enfer » et où l’on supplie « Oh baby, continue à tomber chaque jour dans mes bras ».
A la dérive, mais pas complètement désespéré, Tim Dup nous chante le spleen des années 2010. Fausse fragilité ? Il n’a pas 25 ans, mais fait preuve d’une certaine sagesse. Car il cultive ce paradoxe : prendre de la hauteur en racontant un récit du quotidien, émaillé de détails triviaux.
Mélodies agréables, emploi discret du vocodeur : le léger côté « variétés » ne doit pas empêcher de goûter la poésie de ces chansons.
Besoin d’un rayon de soleil ? Laissez traîner vos oreilles du côté de la rumba congolaise, avec le dernier album de Bumba Massa.
Originaire de Kinshasa, ce musicien a eu plusieurs vies au sein de différents ensembles et orchestres (le dernier en date : Kekele). Il cache ses 70 printemps derrière une voix juvénile et des rythmes chaloupés. La parenté avec la musique cubaine sonne comme une évidence.
Que du soleil, on vous disait…
Il s’agit d’une réécriture, pour piano à quatre mains et récitant, de la géniale fiction de Lewis Carroll.
Cette version fait ressortir tout ce qu’il y a d’inquiétant dans le récit. Extrêmement rythmée, ou lourde de mystère, la musique et la voix du comédien nous font tomber au fond du terrier et traverser cet étrange pays peuplé de personnages improbables.
On a l’impression de connaître cette histoire par cœur. Et pourtant… on est suspendu au déroulement des aventures d’Alice et des curieuses rencontres qui jalonnent son rêve.
Pour les élèves de terminale, c'est l'ultime ligne droite : les dernières semaines avant le bac sont réservées aux révisions.
Voici, pour ceux qui ont choisi l'option musique, une petite aide en forme de rappel du programme.
Amoureux du son de l’accordéon diatonique, ne passez pas à côté de ce disque.
Sébastien Bertrand est un formidable mélodiste. Il fait respirer son instrument grâce à ce qu’il appelle « la musique du ventre ». On l’a déjà rencontré en famille dans le Duo Bertrand. L’accordéon retrouvait alors la cornemuse traditionnelle pour des airs à danser vendéens.
Ici, les traversées évoquées dans le titre ouvrent l’horizon vers la Méditerranée et l’Atlantique. Laissez-vous emporter…
Héritière du passé colonialiste et esclavagiste, la musique antillaise a intégré des traditions multiples et variées.
Les rythmes africains ont rencontré les danses de salon européennes, et les grands voisins américains et brésiliens ont inévitablement influencé la culture des îles caraïbes.
Relaxer, vraiment ? Oui et non.
Alt-J, trio pop anglais, souffle le chaud et le froid : moments de quiétude et épisodes telluriques alternent dans cet album, où l’esthétique musicale est très soignée. La participation des cordes de l’Orchestre philharmonique de Londres n’y est pas pour rien.
Certains seront déconcertés par ces changements d’ambiance. D’autres apprécieront l’exploration de différents états d’âme en un format court (40 minutes pour 8 morceaux).
Un fourmillement d’idées mélodiques et de trouvailles sonores se révèlent au fil des écoutes.
Envoûtant et addictif.
Groupe instrumental et vocal, les Weepers Circus surfent sur la vague des chansons ambiance rock festif.
Leur répertoire pour enfants pioche à tous les râteliers : chansons traditionnelles, musique classique, créations originales. Les amis sont là, invités pour donner corps aux chansons : les Ogres de barback, Aldebert, François Morel, Dick Rivers, Babet. Tout ça dans une bonne humeur assurée !
→ Souvenez-vous… En 2006, le groupe de hard rock finlandais Lordi gagnait le concours de l’Eurovision.
Lire la suite : C'est du lourd : hard rock, heavy metal, hardcore...
Toto la Momposina possède la voix ensoleillée et épicée de la Colombie caraïbe. Percussions rappelant l'Afrique, langue espagnole, sonorités indiennes d'Amérique du sud : la chanteuse renvoie l'image d'un riche métissage.
Chants et danses traditionnels ont forgé son éducation musicale. Ses années passées en Europe, sa carrière discographique débutée en France en 1980, n'ont pas atteint ses profondes racines afro-indiennes.
Cet album se veut une rétrospective de sa carrière, récemment récompensée par la décoration de Chevalier des Arts et des Lettres.
En 1988, la chanson Calling you, extraite de la b.o. du film Bagdad café, tournait en boucle sur les chaînes radio. Ce morceau est repris par la chanteuse suédoise Viktoria Tolstoy.
Sa voix évolue avec sensualité, entourée d'un trio guitare-contrebasse-batterie, enrichi à l'occasion d'un piano ou d'un trombone. Avec plaisir, on se laisse guider dans cette promenade cinématographique jazzy concoctée par la chanteuse.
Voici une sélection de livres-cd qui touchent à la petite enfance : imagiers, histoires, chansons, comptines, jeux de doigts, berceuses, découvertes musicales.
L'ensemble instrumental, les Musiciens de Saint Julien, nous propose un programme enthousiasmant, puisé dans le répertoire irlandais des XVIIe et XVIIIe siècles. Chansons et airs à danser célèbrent les bardes gaéliques et tentent de résister à l'occupant anglais et écossais.
François Lazarévitch, aux flûtes et cornemuses, conduit ses musiciens, accompagnés pour l'occasion du ténor Robert Getchell.
Ce groupe de Montpelliérains porte décidément bien son nom. Alternant les morceaux rythmés et d’autres plus mélancoliques, de cet album se dégage un véritable espoir et une furieuse envie de vivre.
Pourtant, l’air de rien, il aborde avec talent des sujets aussi poignants que le deuil, la détresse humaine ou encore la politique. Car leur soif de liberté ne souffre aucune entrave.
Hommage à toutes les musiques du monde, leur optimisme est contagieux !
« La musique n’a pas de frontière, tant qu’elle se joue avec le cœur. »
La voix rauque de Macy Gray est envoûtante. Depuis plus de 15 ans, la carrière de cette chanteuse américaine évolue entre soul, pop, rap et R’n’B.
Ici, le quartet qui l’accompagne distille une musique jazzy, parfois feutrée, doucement électrifiée. Cette néo-soul tout en nuances s’écoute avec enthousiasme.
Il est toujours bon de côtoyer des chefs-d’œuvre. Et ce Stabat mater en est un.Il a été composé en 1736 par Jean-Baptiste Pergolèse, qui devait mourir 2 mois plus tard à 26 ans.
Ecrit pour un effectif réduit, les dialogues entre les deux voix féminines y sont poignants. Promise à la postérité, cette œuvre inspirera d’autres compositeurs (J. S. Bach, A. Salieri, P. Hindemith...)
Le 21 juin, pour l'arrivée de l'été, la musique se met en fête. Elle s'invite dans les rues, les jardins, les bars... Ambiance garantie avec les fanfares, harmonies, bandas et autres brass bands !
A tous ceux que le folklore country horripile, tentons ce conseil : jetez quand même une oreille au CD de Karl Blau. Ce musicien prolixe de l’autre côté de l’Atlantique s’en tient ici à des reprises sophistiquées, au tempo nonchalant.
L’orchestre et les chœurs subtils n’écrasent jamais la voix nuancée du chanteur. A voir la photo de pochette, où une guirlande lumineuse court de son chapeau à son costume satiné, on se prend à penser que ce cow-boy sait aussi manier l’humour.
Betty Bonifassi rend ici hommage à Alan Lomax. Ethnomusicologue, il a recueilli au début du XXe siècle le blues des forçats noirs dans différents pénitenciers du sud des Etats-Unis. La chanteuse canadienne restitue l'esprit de ces chansons avec sa voix convaincante, dans leur simplicité brute, leur répétition entêtante et leur rythme appuyé.
Ça suffit le gnangnan, le rose sucré, les blagues Carambar, le pays de Oui-Oui ou des Bisounours ! Le monde de l'enfance ne se limite pas aux gentils qui ont tout bon et aux méchants très vilains.
Le compositeur américain Mason Bates nous propose une œuvre symphonique à la fois classique et inventive. Passé par l’école des DJ de Chicago, il incorpore des sons électroniques à l’instrumentarium habituel de l’orchestre. Dans un style descriptif comme pouvait l’être celui des compositeurs du XIXe siècle, Mason Bates raconte notre monde (fonte des glaces, usines, problèmes énergétiques, soirées techno...) avec un langage musical renouvelé.
Où avez-vous pu entendre les artistes suivants ?... ils ont participé aux éditions précédentes de Médiazique.
D'abord, un son rock accroche l'oreille. Et puis on s'attarde sur les paroles : histoires de désir, sentiments troubles, amours en perdition. Un univers très intime se met en place, dessiné à coups de mots simples, crus, joueurs ou poétiques. Des mots qui sonnent juste, des mots qui tombent là où il faut.
Prêts pour aller guincher ? Avec ce CD, retrouvez l'ambiance d'un bal musette à l'accent parigot.
C'est gai, parfois un peu coquin, et délicieusement rétro. Des instruments rigolos (sifflet à coulisse, appeaux, kazoo, sonnette de vélo...) ponctuent les mélodies de l'accordéon. Les musiciens n'oublient pas le petit clin d'oeil aux Auvergnats de Paris, ambassadeurs, en d'autres temps, d'une culture exotique qui s'implanta dans la capitale.
Au début du XVIIIe siècle, Mondonville jouissait d'une fameuse réputation dans le milieu musical français. Originaire de Narbonne, il mènera sa carrière essentiellement à Paris et à Versailles, où il sera maître de musique de la Chapelle royale. A ce titre, il composa 18 grands motets. Bien que sacrées, ces oeuvres monumentales ont profité des innovations stylistiques introduites dans la musique profane.
Ecoutez en particulier, avec cet enregistrement, le timbre particulier des voix de haute-contre et la subtilité de la polyphonie.
Il serait temps de reconnaître à Michèle Bernard toute la place qu'elle mérite dans le panorama de la chanson française. Héritière de la "chanson à texte", ses paroles intelligentes sont en prise avec le monde d'aujourd'hui. Réfugiés, Syrie en guerre, solitude des personnes âgées, déshumanisation de la société, vie par écran interposé : elle les chante ici pour un public adulte. Une partie de sa discographie s'adresse aussi, dans la même veine, aux plus jeunes.
Le 6 décembre 2016, Guillaume Kosmicki, musicien et conférencier, animait une journée sur les musiques électroniques dans le cadre du programme de formation de la MDA.
Benjamin Godard est une personnalité à redécouvrir. Il fut compositeur prolixe, violoniste et chef d'orchestre, recueillant succès sur succès dans la seconde moitié du XIXe siècle.
Sortant peu à peu de l'ombre, ses oeuvres aux couleurs subtiles, volontiers imagées, et à l'habile architecture, révèlent un maître de la musique romantique française.
Ce trio de jazz est, somme toute, de facture classique : piano, contrebasse, batterie. Mais le génie mélodique de Kenny Barron transcende la forme, nous menant de réminiscences bebop à longues phrases cool.
A propos de ce pianiste, qui a commencé sa carrière à 19 ans auprès de Dizzy Gillespie, on parle d'élégance et même de perfection.
Voilà un disque qui porte bien son nom : il y a quelque chose d'une attraction irrésistible dans la voix et les mélodies de la chanteuse argentine La Yegros.
Elle recycle les rythmes dansants de cumbia et chamamé en un mélange moderne/traditionnel qui fonctionne à merveille. On peut constater qu'accordéon et électro font très bon ménage.
Ils ont entre 20 et 30 ans.
Ils chantent en français ou en anglais des textes souvent minimalistes, faussement simplistes.
Lire la suite : Génération pop : la nouvelle scène de la chanson française
L'Aveyron, comme chaque année, accueille en juillet-août divers festivals de musique.
Voici, en guise de mise en bouche, quelques artistes, compositeurs ou interprètes, que vous pourrez écouter en concert.
Câlines ou mutines, ponctuées de petits bruitages et de jeux de mots rebondissants, les chansons révèlent esprit, humour et vivacité. Facétie aussi, osant un clin d'oeil appuyé aux rappeurs de NTM : "C'est de la bombe, bébé !"
La bibliothèque de La Fouillade organisait le samedi 18 juin à 20h une conférence sur l'histoire du rock.
Lire la suite : Scarabées, pierres qui roulent... et autres repères
A présent, son jardin musical s'épanouit au son des riddims et du flow. Avec elle, hip hop et reggae vont très bien ensemble.
Le deuxième dimanche de mai, l'association Orgue en France organise le "Jour de l'orgue".
L'accordéon, "piano du pauvre", "piano à bretelles", est synonyme de culture populaire et de bal musette.
Si vous êtes susceptibles, vous pourrez vous sentir égratignés par certains textes. Si vous avez de l'humour, vous rirez de bon coeur !
Un ensemble impeccable, loin des effets de mode.
Le groupe malaxe un rock perturbé et sulfureux, aux accents sombres mais énergiques.
Duo de punks anglais, les Slaves crachent leur rage pour la communiquer à leur génération. La provocation est de mise. Réveillez-vous, secouez-vous, si vous ne voulez pas vivre et mourir comme des animaux !
Satisfaits, sûrement pas ; esclaves, encore moins.
« Requiem aeternam dona eis » (Donne-leur le repos éternel). Ces mots, dans la tradition chrétienne européenne, introduisent le rituel des funérailles.
Même si on effleure ici et là les catastrophes écologiques qui dévastent les océans, la tendance générale des chansons reste la bonne humeur. Les parents pourront aussi sourire aux clins d'oeil lancés au répertoire adulte.
Son dernier projet en date : transposer les 14 morceaux de son dernier album en autant de nouvelles, en adoptant un point de vue complémentaire ou un angle d'attaque inattendu.
Lire la suite : 36 heures de la vie d'une femme : parce que 24, c'est pas assez / Agnès Bihl
Suédois, mais écorché comme un bluesman du sud des Etats-Unis au milieu d'un champ de coton.
Entouré de la fine fleur des dancefloors, Pitbull provoque, par son flow, une irrésistible envie de gigoter en rythme. Good vibrations !
Ils posent un regard lucide sur notre société, et nous invitent aussi, dans un grand élan solidaire, à ne pas baisser les bras.
Textes, sonorités, interprétations accrochent l'oreille. Les chansons sont interactives : devinettes, jeux de doigts ou de manipulation, invitation au dessin et à la danse.
Sur l'album, les adultes s'accompagnent volontiers de voix d'enfants. De même, les parents sont invités à partager ces moments musicaux en famille.
Avec une bonne dose d'autodérision, elle a concocté des chansons qu'elle accompagne éventuellement d'un piano-jouet. Quand l'amour rime avec humour...
Originaire de Santiago du Chili, le groupe "LA hell gang" nous emmène très loin. Sa musique respire les grands espaces. C'est en effet dans la mouvance du renouveau psychédélique que s'inscrit ce trio : longues phrases mélodiques et répétitives, rythmes lents, voix vaporeuses.
Attention... musique très addictive !
Ainsi peut se résumer l'intrigue de l'Euridice de Giulio Caccini. Jouée en 1600, cette oeuvre musicale est d'un style nouveau : elle est reconnue comme le premier opéra dont nous ayons conservé la trace.
Les voix, d'une grande expressivité, se répondent. Et dans les choeurs, c'est avec un art très abouti que le compositeur agence d'élégants enchevêtrements de tessitures. Du madrigal naît l'opéra.
Le grand public a déjà repéré ces voix alanguies, légèrement éraillées, où perce l'influence du reggae. Laissez-vous tenter !
Cet enregistrement répond à une commande de la Cinémathèque française : sonoriser le film muet de René Clair, "La proie du vent".
C'est le musicien franco-libanais, Ibrahim Maalouf, qui relève le défi. Jazz d'atmosphère, ses compositions créent une ambiance de polar new-yorkais.
Le rap est un genre musical peu exploré dans la production pour enfants. Il y avait un créneau à prendre. C'est chose faite avec les Frères casquette.
Scratchs et flow nous font pénétrer dans l'univers des petites kaïras de cour de récré. Mais le message peut aussi être plus lourd de sens, en pronant tolérance et ouverture d'esprit.
Une expression originale et des choses à dire... voilà un groupe à suivre.
Les petits sont invités, par des chansons, à expérimenter les capacités de leur voix : du grave à l'aigu, du lent au rapide, montée en crescendo, tenue du souffle...
Un piano pour soutien, et... à toi de chanter !
Derrière le nom de Brico jardin se cachent des musiciens - auteurs, compositeurs, interprètes - originaires de Genève.
Où nous emmènent-ils avec cette Lola Folding ? En effet, leur univers légèrement inquiétant se situe loin des contes de fées traditionnels.
L'ensemble vocal Heinavanker explore le riche corpus de cantiques folkloriques estoniens, miraculeusement conservé et redécouvert après l'ère soviétique.
En vers plus ou moins libres, Liz Van Deuq nous livre son âme.
Se moquer des artistes égocentriques, dénoncer le réchauffement climatique, rendre un hommage à la vieillesse, pratiquer l'auto-dérision... voici quelques facettes de cette auteure-compositrice-interprète originaire de Nevers.
C'est du punk vitaminé qui nous arrive de Los Angeles : rage, provocation, mais aussi quelques accents pop.
Fidlar, en fait, ce sont quatre jeunes rockers qui, sans complexe, emboîtent le pas aux Ramones.
Jacco Gardner est un jeune multi-instrumentiste hollandais, nourri de pop sixties.
Sur les photos, il aime poser en personnage décalé, chapeau haut-de-forme sur la tête.
Kobo Town est le nom d'un quartier de Port of Spain, capitale de Trinidad. C'est aussi celui d'un groupe mené par le chanteur Drew Gonsalves.
Fortement teintées de calypso, ses chansons ressemblent à une bande son de carnaval caribéen.
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