À la dérive, mais pas complètement désespéré, Tim Dup nous chante le spleen des années 2010.

Fausse fragilité ? Il n’a pas 25 ans, mais fait preuve d’une certaine sagesse. Car il cultive ce paradoxe : prendre de la hauteur en racontant un récit du quotidien, émaillé de détails triviaux.

Mélodies agréables, emploi  discret du vocodeur : le léger côté « variétés » ne doit pas empêcher de goûter la poésie de ces chansons.

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