Années cinquante. Teiko est confrontée à la disparition étrange de Kenichi, qu’elle vient d’épouser sur recommandation d’un entremetteur.
Déterminée, elle mène l’enquête. De disparitions inquiétantes en morts suspectes, sa quête de vérité révèlera l’image d’une société japonaise corsetée par les conventions sociales, marquée par la défaite et l’occupation américaine.
Précurseur du roman noir au Japon, Matsumoto innove avec un personnage principal féminin. Ce roman de 1958, traduit par Dominique et Frank Sylvain figure au catalogue de leur nouvelle maison d’édition spécialisée dans le domaine asiatique, Atelier Akatombo. À suivre.