Même si l’auteur distille quelques indices, préparez-vous à vous faire manipuler...
Alice est artiste peintre. Gabriel, son mari, est un illustre photographe de mode. Ils ne sont rien l’un sans l’autre. Un soir, la police est appelée, des coups de feu ont été entendus au domicile du couple. A son arrivée, la police découvre le corps sans vie de Gabriel, Alice quant à elle est couverte de sang, l’arme du crime est tombée à ses pieds. En état de choc, elle ne peut plus parler, elle refuse même de se défendre et se retrouve internée dans un hôpital psychiatrique. Alice est un mystère. Tout le monde la croit coupable. Seul Théo Faber, psychothérapeute, est convaincu qu’il peut la faire à nouveau parler et enfin découvrir ce qui s’est passé cette nuit-là. Il entame alors avec elle des séances avec plus ou moins de succès jusqu’à cette ultime séance où les pièces du puzzle s’emboitent.
Polar machiavélique où le lecteur tente, comme l’ensemble de l’équipe soignante, de comprendre ce qui s’est réellement passé la nuit du meurtre.